Je suis né, j’ai vécu ………
Je suis Maximillien Maslow, fils unique et légitime de l'intedant de Stratholme : Sir Eliot Maslow, un noble que nombres d’aristocrates de Lordearon admirait de par ces exploits militaires durant la seconde guerre, craint et respecté, il faisait tout son possible pour ravir son peuple et son peuple le ravissait. Je vécu dans le luxe et l’affection de mon père qui voyait en moi le futur Dirigent de la maison a la balance,symbolisant la justice et la sagesse dont il a toujours fait preuve,ainsi que dans le chagrin de ma mère qui ne survit pas a ma naissance, je passait mes journées a la garnison, regardant les soldats parler de nains et d’orcs toute la journée, de leurs défaites et de leurs victoires, de leurs sergents et de leurs écuyers. Je les observais pendant l’exercice très strict supervisé parfois par mon propre père, j’étais fier d’être le fils d’un homme aussi habile dans l’art complexe de diriger, son peuple et son armée, pendant ces manœuvres, Ils venaient parfois m’apprendre quelques passes d’armes.
Recule ! …… Voila Frappe ….. Parfait, fait une parade ! Mais Pare tu te ferais arracher le Bras si tu continu a tenir ton épée comme un balais disait’ ils.
Je m’avérai être un épéiste des plus doué depuis mon jeune âge, et je fus orienté vers la main d’argent qui ne recruté que les meilleurs éléments de l’école militaire, j’avais alors dix-huit ans, je me lançais donc dans mes saintes études avec toute la détermination dont pouvait faire preuve un jeune homme dont les semblables faisait la cour aux dames, il est vrais que je fus plus apte a renverser un ennemi que de m’attirer les faveurs d’une dame. Ainsi allait la vie et je fus même féliciter par le noble Uther,fondateur de la main d’argent et tuteur spirituel du jeune prince, j'allait voir un certain thrall combattre dans l'arène en companie de mon pére avant de passer la saison des moissons dans notre ferme en hautebrande,...
Et puis vint la peste, le fléau, la calamité, Tant de noms pour une même terrible chose, les nouvelles des orcs qui se massaient au frontières étaient alarmante et cette peste n’améliorais pas les choses, en dépit des avertissement d’un certain prophéte, les nobles persuadèrent térénas de l'ignorer et de marcher en direction du campement orc et ce fut son fils qu'il choisit pour conduire cette expédition.
mon père pris la décision de produire nos propre vivres pensant éviter la contamination et la dernière cargaison avant le blocus devait arriver Le matin d’après.
Matin comme les autres diront certains, d’autre dirons que ce sera la dernière cargaison avant la famine mais personne ne savais c'était le grain empoisonné venant de Stranbrande, non personne, Ils firent entrer le grain par la porte principale, les Gardes firent distribution du grain brun aux habitant affamés qui faisaient de même avec leurs enfants qui l’était encore plus qu’eux, il mangeaient, heureux de calmer enfin la faim qui les tourmentait depuis tant, l'émotion était telle qu'un étranger aurait volontiers cru que c'était une fête
Quand a notre propre alimentation mon père, moi, notre garde et le personnel du manoir, nos réserves nous permettaient de tenir encore quelques jours sans toucher a la cargaison, de ce fait, l'intendant interdit de toucher aux caisse contaminés, voulant en faire profiter son peuple avant lui. un autre geste de pure noblesse a inscrire sur la statue a son effigie pensait-on.......
Le soir, une colonie de zombie c’était amassé prés de la porte du château et leurs râlent se faisaient entendre de loin, les morts achevaient les vivants dont la transformation n’avait pas encore commencé ; et la ville basse devint bientôt une ruche de gens qu’il fallait mieux mettre sous terre, mon père Appris que la demeure royal était tombé,et voyant le désespoir gagner ses homme, tenta une sorti voulant disperser ceux dont ils prenait soin depuis tant, et nous donner une chance de nous enfuir, le nombres des morts vivants surpassa la garde de mon père, et de la trentaine de héros qui sortirent revinrent 5 homme portant le 6èmme : mon père, l'intendant mordu par un mort vivant qui lui avait sauté a la gorge le désarçonnant, il avait réussi a se relever et d'achever le mort dans un geste désespéré et c'était effondré.....
ils le posèrent sur les marche de l’escalier conduisant au niveau supérieur, je les rejoins en courant, il me pris la main, son visage transmettait l’expression des douleurs qu’il devait endurer, il releva la tête et tenta de parler péniblement, je put voir les traces de la morsure, quatre incisions dont le liquide verdâtre bouillonnait et lui dévorait la gorge
il ouvra la bouche voulant me parler mais se fut son dernier souffle qui sorti. ainsi mourut ce héros, il expira sur les marche de sa propre deumeure, sous la vue de son propre fils.
Je me relevais le regard brouillé de larmes, J’étais perdu un moment qu’allai je faire ? Que pouvais-je faire ? tant de questions mais aucune réponse........
Je fus tiré de ma mélancolie par le craquement de la porte qui céda face aux assauts des mort vivant, il l'avait fais voler en éclats devenus plus fort et rejoint par d’autre moribonds, il surgissent de partout submergeant la cour, j’eu juste le temps de trainer le corps de mon défunt pèrea l'inérieur et d'aider ensuite les quelques personne restante a barricader la porte, cette tache finit, je me suis assit, dos contre le mur..........
A se moment un vieux soldat me dis :
Mon enfant, nous allons les retenir, votre père paix a son âme savais qu'un jour comme celui si arriverait, alors il a fais creuser un tunnel sous nos pied qui sert de moyen de transit rapide sous la ville pour l'alimenter en vivres au cas ou, mais je comprend a présent le fond de sa pensé, Partez, et faite honneur a votre père !!
je m’enfuis par le souterrain qui déboulait sur deux ponts, l’un grouillait de morts vivants, l’autre était vide, ses deux pont fusionnent a un moment pour former une sorte de plate forme au centre de laquelle se tenais la grande fontaine. Je pris le second en courant quand j'aperçus surpris le porte-cendre qui accourait avec toute la garnison écarlate pour barrer la route aux morts vivants,je fus au moment ou je les rejoint happé par un écarlate qui me plaqua contre la statue de la fontaine dont l’eau avait pris une lueur sanguine en ce jour funeste, j’ai regarder le ciel a ce moment, il était en feu comme un immense brasier ardent qui flottait au dessus de nos têtes.
Je regardais attendant l’issu du combat, par millier ils sont venus, Darion lui immobile les attendais, Tenant son épée, il les réduisit en cendre, accomplissant des prouesses d’escrime et de maitrise suprême de la lumière et du feu sacré. Quand un brouillard S’abattit soudain, nous entendîmes une explosion et je vis ce que par la suite je reconnu comme étant le seigneur de la déroute Mal’ganis percuter le mur et tomber raclant tout le rempart. Et son adversaire était Arthas qui d’un coup de son marteau, envoya son ennemi de l’autre coté du pont. Ce dernier se remit vite sur pied, et s’avance Arthas en fit autan. Le combat avait cessé et tous le monde regardaient ces deux géants se parler :
-Vous nous ressemblez de plus en plus prince Déchu !
-Taisez-vous, je vous tuerais vous et votre maitre, vous m’entendez Mal’ganis, Je sauverai mon peuple !!!
-Le seigneur noir Voit tout, il entend tout, il prévoit tout, je vous lance un défit petit prince, rassemblez vos force et venez m’affronter sur le toit du monde et nous laisserons le seigneur noir trancher et accorde la victoire au plus méritant.
Sur ses mots, il tourna les talons et s’envolât faisant trembler la terre ce qui fit tomber la statue sur moi, me rendant incapable de bouger. Arthas resta silencieux un pendant un court instant, puis il se tourna vers ses soldat et cria d’une voix tonnante : L’épuration Continue !!!!
A ses mots les soldats tirèrent leurs épées et se jetèrent sur les écarlates ses dernier durent se défendre laissant Darion tous seul face a une horde de morts vivants et moi au centre de tout cela incapable de faire ne serais se qu’un geste
La bataille fut brève, Il ne restait qu’un homme debout, Darion le silence faisait place à coté d’un brouillard épais depuis le repli des soldats d’Arthas. Darion avança dans ma direction en appelant un certain Fairbanks puis il s’arrêta et posa son épée pour se reposer un instant, et la je vis l’ombre d’un homme venir derrière lui j’eu beau crier, me démener il ne m’entendait pas, je me suis mit a courir pour tenter de le prévenir, mais je trebuchait sur un cadavre, je tentait de me libérer tout en criant mais c'était trop tard.
L’homme pris l’épée légendaire et transperça Mograine, puis l’homme vain dans ma direction, je saisit une épée qui trainait pré de moi, et je la serrais dans ma main gauche prêt a vendre chèrement ma vie, il ne me vit pas, et je lui donnai un coup de dague en plein Talon espérant lui sectionner le tendon d’Achille, il hurla, saisit sa masse et me mit se retourna et me mis un Coup en pleine tête, je perdis connaissance assommé sur le coup.
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A mon réveil, j’étais dans une infirmerie, des gens était grièvement blessé autour de moi, certain râlaient, d’autre souffraient en silence. et d'autre blasphémaient les médecins.
J’avais un bandeau sur la tête et une blessure au front m’appris un homme mi-chauve visiblement le docteur a qui je devait la vie, javait passé une nuit dans cet hôpital, et jetait arrivé la sur un chariot qui prit ceux qui eurent la chance de croiser sa route, il m'avaient trouvé a Stratholme m'a t 'il dit. je me suis recouché essayant d'oublier ma misère...........
le lendemain, un soldat visiblement écarlate. déboula et me dit de le suivre, je me suis levé, et j'ai eu du mal a marcher, je fit un pas hésitant, puis deux, et me voila devant l'écarlate qui visiblement n'aimait pas attendre, il me saisit par le collet et me poussa sur le seuil de la porte, je fut aveuglé par le soleil, j'en déduit que jetait resté longtemps in-contient. il me donna un coup de bouclier qui me fit quitter l'hôpital et le sol par la même occasion. plusieurs personne dans le même cas que moi était rassemblé dans la cour.
un homme que je reconnaitrait plus tard être le commandant Écarlate renault Mograine, pére du défunt porte-cendre pris la parole s'adressant a la foule que je rejoint toujours trainé par le soldat.
- Habitants de STRATHOLME, votre ville est tombé, vos familles sont passé de l'autre coté, vos biens sont perdus, vous ne devez votre salut qu'a la croisade écarlate, nous vous avons sauvé, nourris et soigné, l'heure est venu pour vous de nous rendre service a votre tour......
- Il est vrai que Darion mon père est mort, que porte-cendre est perdu, mais rien n'est ne l'est éternellement, avec votre aide, compagnons, nous recouvrerons nos terres volée et vengerons nos familles assassinées....
le discours se prolongea et j'en fut enflammé, jetait un écarlate a présent je devais servir leurs cause jusqu'à la fin de mon existence.
Tous cela arrivait tellement vite, ils me montrèrent ma chambre, celle si devait s’améliorer en fonction de mon grade et que d’après eux un jeune homme de ma trempe devrais vite se retrouver avec de nombreux trophée,
le lendemain l’entrainement commença, ce fut rude, brutal et sans pitié il fallait s’habituer ou périr, deux alternative, je fis vite mon choix et mes supérieurs aussi,
je fus placé en tant que garde de la salle d’entrainement d’Hérode le champion écarlate. dont je devint l'un des disciples.
Et ainsi s’écoulaient Cinq longues années
J’avais évolué dans le maniement des Armes n’avait plus de secret pour moi, la lumière m’aidait à soutenir mes attaque et le feu sacré à repousser celle de mes ennemies. jetait l'un des meilleur au monastère et javait gagné le respect de tous. on projetai de m'envoyer au mallterres pour m'endurcir et gagner en expérience.
un soir, je pris part aux diner des officier au court du quel on me nomma Sergent, je devais aller chercher ma nouvelle arme dans les appartements d’Hérode.
le diner finit et mes remerciements distribués, je pris le chemin de la salle dans laquelle javait connu l'échec et la gloire, la tristesse et le bonheur, je marchait fièrement dans les couloirs et prenait le dernier escalier pour arriver aux appartement d'herode.
A ma grande surprise, je vit que les portes était fracassées,les sentinelles étaient mortes,tuées sur le coup, je pénétrais en courant dans la chambre et je vis Hérode ainsi qu’un homme casqué et armée de pied en cap qui me tourné le dos, il était ecident que c'etait le responsable de ces crimes
N’écoutant que mon devoir, je lui fonçais dessus en levant mon épieu, mais il esquiva mon coup avec une incroyable agilité et me donna un coup de poing en plein abdomen je m’en allai Tomber a plat ventre complètement paralysé a quelque pas de lui qui reprit son ancienne posture immédiatement.
Ils se mirent à parler et moi j’écoutais, c’était tout ce que je pouvais faire :
- Alors Hérode, on ne reconnaît plus son vieil ami hein ?
- Je ne reconnais plus personne ses temps si, ni toi ni ………
- Pas de nom nous ne somme pas seuls.
- Que veux-tu ?
- La simple justice
- De quelle justice tu parle ?
- Celle-ci,
Il sorti un parchemin et se mit à le lire, les noms de personnes tuée a tord par la croisade, nombre de ces noms me sont familier……..
C’était à peine Croyable, la croisade ; des assassin ? Des voleur, des…des …..
Les mots me manquaient, et je sentaient la rage monter en moi au fur et a mesure que je reprenais le contrôle de mon Corps, ainsi Renault était le fils et l'assassin de Darion le porte-cendre. C'était lui que j'avais blessé, C'était lui qui m'avait assommé puis conduit au Monastère,lui qui ma berné, il C'est servi de moi !!!!
Je me perdait en déduction quand L’homme finit la liste.
- Tu connais la sentence ?
- Oui, je la connais, mais dit moi tu ne vas pas l’appliquer toi-même non ?
L’homme sorti une épée de son fourreau en guise de réponse
- Hahahahaha ………. Idiot que vous êtes tous, Nous somme invincible………….. je suis invincible !!................ assez parlé place a l’action !
Les portes de la salle se refermaient sur les deux hommes impassibles, prêt à bondir.
Le son des épées retentissaient, et moi je recouvrait peu a peu le controle de mon corps,en un mouvement je me remis sur pied cherchant mon arme du regard, je ramassait mon épieu,et ouvrais les porte,et constatai Qu’Hérode allait tuer l’homme qui était couché face a herode plus déterminé a en finir que jamais.
Mais c’était sans compter mon changement de camp, fou de rage, je plantais mon épée d'un geste ou je mit toute ma colére et toute rage dans le dos jusqu’au pommeau le faisaient sortir de ses côtes, je fit tourner la lame pour la faire rentrer encore plus profondément dans la chair, puis je l'ai retiré d'un mouvement sec en me servant de mon pied jettant le corps a terre,Hérode s’effondra sans mot dire.
- Merci petit, je me suis trompé sur ton compte
- De rien, mais je suis loin d’en avoir finit avec la trahison de Renault
- Non, il doit vivre encore un peu, son heure n’est pas encore venu, il peut encore
nous servir. il commet de plus en plus d'erreur de jugement et se conduit lui même a la perte, donc tu ne le touchera pas, pas plus qu'un autre ecarlate.
- Mais ….
- Écoute moi petit ne fais pas bêtises et tu auras ta vengeance, tu dois rester ici et que personne en se doute de rien. Hérode a été tué par un inconnu, pas par toi......
- *soupir* d’accord
- Bien, vas les prévenir de la mort de cet imbécile mais ne mentionne pas et ne mentionne pas mon apparition sous aucun prétexte. fait attention a ce que tu dit.....
- Bien, on se reverra.
Le temps de sauter de la fenêtre et il disparut dans les ténèbres de cette forêt maudite.
je me mit a réfléchir a la façon de les prévenir sans pour autant attirer les soupçons quand je vit arriver une garde qui m'accusa naturellement, je fus conduit a Renaul qi m'accusa de trahison, il prononça la sentence, et me conmdanna a l'execution.
et pour selon lui éviter les cas similaires, il le ferait lui même et mon corps serait pendu pour servir d'exemple...
sa main s'allongea vers sa masse que ma tête ne connaissait que trop bien et allais m’exécuter quand l’inquisitrice blanche-tête l’en empêcha, elle lui chuchotait a l’oreille, puis il se tourna et écrivit un document, et a contre--cœur me le donna.
- A Avalon, vous méditerez sur vos fautes et trouverez le chemin de la rédemption.
- Quand dois-je partir messire
- Vous l'êtes déjà.
Je sorti de ce monastère, de cette foret, de ce continent et je pris un bateau pour Avalon, La traversé si fit en quelque semaines en compagnie de gobelins tous aussi roublard les un que les autres.
Le jour du débarquement, je mis pied à terre et montais lentement vers la ville, regardant les mousses se prendre un savon de la part de leur capitaine, les soldats déchargeant leur matériel, les Bardes encouragent ces derniers de leur chants, en pensant :
"Peut être que les choses seront différente ici, peut être………………."
Fin.
( la suite Ig, bon, c'est pas du niveau de la sœur de Herwas mais c'est tjr sa ^^)