Une histoire d'un garçon :
Le commencement et la guerre
Partie 1 : Un apprenti magicien.
- Bonjour jeune élève Alwais, tu as été choisis parmi 100 jeunes enfants de 10 ans.
- Pourquoi j'ai été choisis ?
- En toi il y a une grande puissance, la même que celle qui avait détruit le tout premier Roi-Liche mais tu ne le détruiras point, ton destin est d'aider à sa destruction.
Alwais a été abandonné au pieds d'un orphelinat, il ne connaissait pas ses parents.
A 9 ans on lui fit passer 20 exercices de magie. Bizarrement il les réussit tous du premier coup. 1 ans plus tard un Archimage viens le chercher. Il était à la hauteure de l'Archimage.
Partie 2 : Un adolescent puissant.
- C'est tout ?
- Jeune Alwais, ne combat pas avec la rage mais l'intelligence, la rage conduit à la destruction et à la voie du Démoniste, tu ne veux point ça ?
- Non, je veux devenir un mage, c'est tout.
Cette discussion a fait réfléchir le jeune Alwais. Le lendemain matin il avait 15 ans et l'Archimage lui demanda de venir le voir.
- Alwais, tu as 15 ans et il est tant pour toi de partir combattre le Fléau mort-vivant Arthas au Maleterres de l'ouest à la Nouvelle-Avalon, un bateau t'attends à Theramore.
- Bien maître, j'espère que nous nous reverrons.
- Moi aussi.
Alwais alla prendre un simple cheval et prit de suite la route. Il ne vit personne sur la route, même pas une bête. Il arriva à Theramore et prit le bateau le lendemain.
Partie 3 : La guerre, une chose terrible.
Pendant le voyage, il rencontra un druide nommé Reach qui allait aussi à la Nouvelle-Avalon et il discutèrent pendant le voyage. 3 jours plus tard, 3 jours de mer, il arriva à la Nouvelle-Avalon le soir du 3ème jours.
Il fut accueilli par des inconnus. On lui donna un équipement, il vit tout le village.
On lui dit d'attaquer les mort-vivants, il les tua mais se rendit compte que, la guerre était pire que se qu'on lui raconta, il alla vite dormir et repenser à sa.
Fin
Les chevalier de la mort
Le plus grand ennemies.
Partie 4 : La rencontre.
Aujourd'hui, Alwais va connaître une peur jamais ressenti, une rencontre terrible malgré sa puissance. Le champ de bataille était proche de lui. Sa première guerre le hantait.
Pourtant cela faisait 5 ans, il connaissait l'ennemi, des mort-vivants par milliers. Mais il avait fait un rêve dans le quel il voyait un cavalier ténébreux l'attaquer.
Il arriva sur le champ de bataille et tua 10 mort-vivants avec sont cône de froid. Mais vit un cavalier criant : POUR LE ROI-LICHESont rêve s'était réalisé malheureusement. Alwais se prit un coup derrière la tête et tomba inconscient par terre.
Partie 5 : Une réponse troublante.
3 jours plus tard, Alwais se réveilla avec un bandage sur la tête. Il lit un petit mot de papier comme quoi on l'avait sauvé avant que le cavalier le tue, ce cavalier était un Chevalier de la Mort, ce nom fit peur à Alwais. Il se demandait si cela était vraiment une vie, le jour on combat, la nuit on fait des rêves d'horreurs, le lendemain on se fait tuer et on combat nos anciens camarades. Mais quand tout espoir est perdu une flamme le réanime celle qui fait le bien autour de lui. La nuit il pensa au Chevalier de la Mort, c'était un de ses frères d'armes avant et dire qu'il allait devoir le combattre demain encore.
Partie 6 : Une dur bataille.
Alwais alla seulement 1 semaine après sur le champ de bataille. La situation avait tourné pour le Roi-Liche qui maintenant possédait Havre-Comté. Un éboulement avait eu lieu sur la porte qui permettait d'aller à la Main de Tyr. En plus 2 barrières magiques étaient placées derrière. Les sorts ne pouvaient la traverser, les barrières sautèrent alors les mineurs se mirent alors au travail pour enlever les pierres, étant débordés, Alwais et d'autres mages lancèrent des stalactites venant du ciel, les pierres ne tombèrent que peu de secondes plus tard. Derrière des mort-vivants allaient les attaquer, ils les tuèrent et derrière se trouvaient 3 chevaliers de la mort, 2 sont morts car ils n'étaient pas très bien équiper et le dernier était encore là, il s'appelait Areiz, nous nous jetions sur lui mais il était trop fort, ils étaient blessés part terre, lui encore debout.