Il y a des hommes qu'on oubliera jamais . Ceux qui accompissent des actes héroiques .Ces personnes qui deviennent des légendes . Bref , les grands de ce monde . Je n'en fait pas parti . Mon nom est Arthur Coriello et , allez savoir pourquoi , je me sent dans l'obligation d'écrire ce journal sur ma vie meme si probablement personne ne prendra le temps de le lire .
Chapitre 1 : Le nez dans la merde .
C'était par une belle matinée lordaeronaise que ma putain de mère a mis bas dans un caniveau , et m'a abandonné aussitot apres avoir coupé le cordon suintant avec ses dents .
Une entrée en adequation totale avec le plat de résistance de ma vie . C'en est presque amusant .
Par chance , c'était le jour du marché , et la foule commencait à s'aglutiner autour des standes disposé aux alentours .
Entre deux enfants me crachant dessus pour le plaisir et un sans abri venu déféquer sur mes petit pieds potelé , un homme au grand coeur me pris dans ses bras et me rammena chez lui .
Il s'appellait Georges " bon oeil " Coriello . C'était un honnorable tavernier et organisateur de jeu clandestin des bas quartier de Lordaeron .
Il m'a elevée avec fermeté mais justesse , j'ai été bien dressé .
Pour l'année de mes 10 ans il m'a meme offert mon premier boulot : j'étais le netoyeur officiel des sanitaires .
Je passait mes journée à nettoyer les traces de vomi et de merde laissé par les ivrognes . Le soir , je devait récurer les secretions laissé par les ebats de ces memes ivrognes avec des prostitués , ou celles des hommes solitaires, trop pauvre pour s'offrir une companie agréable .
Avouons le : J'avais la belle vie !
Mais lorsque le jour de mes 14 ans fut arrivé , j'ai eut droit a une " promotion " . En plus de mes corvées " ménageres " , j'étais désormais assigné aux plaisir des clients ne pouvant pas s'offrir une prostitué classique . Visiblement mon "père" était tres satisfait de mon travail , il était fier de moi .
Mais vint l'année de mes 18 ans . Apres une enfance que je considerait comme normal et donc forcement heureuse , je découvrit que ma conditions n'était pas " normale " , pire encore c'était interdit par la loi ! Quand j'en ai parlé a mon père pour le mettre au courant il éclata de rire et m'infligea un coup de tisonier de plus que d'habitude , un coup de trop .
Je lui ai arraché la carotide avec mes dents gaté , il reposa en paix apres de longue minutes à se prélasser dans son sang .
Plus rien ne me retenant içi , je decidai alors de partir chercher un nouveau travail , un peu plus valorisant .
Aprés 2 putin de nuits passé sur le bord des trottoirs a cherché un boulot , je me suis dit qu'un metier est synonime d'emmerde .... donc je cherche maintenant , juste un endroit au chaud , et de quoi me foutre de bonnes cotes sous les dents